"En Avril, ne te découvre pas d'un fil" et réchauffement climatique

Oui, je sais. J'ai pas encore écrit grand chose ce trimestre et vous n'avez pas été naïvement crédules quand j'ai tenté de noyer le poisson avec mes photos B&B.

Mais que voulez-vous? Ce serait un euphémisme de dire qu'il fait beau; je me balade, je bois du thé pieds nus dans la pelouse (l'orgie SCR) et puis, je lis aussi. Jane Austen au petit déj, oui, ça c'est devenu un art de vivre, mais en ce moment (i.e. depuis hier et jusqu'à demain), je passe la moitié de mes journées en bibliothèque à lire des critiques pour mon mémoire. Oh, on y est presque, plus qu'une dizaine de pages (oui, je me la raconte, PARFAITEMENT) mais autant que ce soit dix bonnes pages avec des vrais morceaux de Berman dedans.
J'ai commencé à organiser mes cours et j'ai hâte que ce soit fini. Pas que je me sois soudainement prise d'aversion pour le système mais là mon subconscient me parle de liberté, d'herbe, de chaleur, de sport, de fraises... (subconscient pas très cohérent, je vous l'accorde). Assez incompatible donc avec mes schtroumpfs.

Je suis pas encore tout à fait revenue de mon escapade Bath-Bristol avec Sara et je ne dis pas ça que parce que j'en suis encore à me passer de la crème hydratante pluri-quotidiennement, genre en cataplasme en fait. Maintenant, ça me fait un début de bronzage délicieux mais au début... Ouais, j'ai regretté de m'être moqué de ce sage Anglais qui se passait de la crème solaire. Ceci dit, ils sont gentils comme tout les Anglais. Un des porters me voyant arriver me dévisage (choqué qu'il était): "tu es marron!". Oh, merci, mais ça, ça s'appelle rouge chez moi.
Bref, ce week-end était pur, des vraies vacances "bonheur & ronronnement" comme dirait mon autre. J'ai envie de repartir.

Comments

[Sara]

En juin, QUAND TU VEUX BEBE.